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ZSenne in Varia

ZSenne in Varia. zat 8/10 18.00 > 19.30 u 
VERNISSAGE van 3 performances in Théâtre Varia door Tanguy Poujol, Miljan Vukicevic en Fred Rolland.
Opening van het seizoen met "Il ne dansera qu’avec elle" van Antoine Laubin
Théâtre Varia
Scepterstraat 78
1050 Elsene
VOORDEEL : bezoekers van de vernissage kunnen de voorstelling bijwonen aan de reductieprijs van 8€.
www.varia.be en www.zsenne.be

A l’occasion de l’ouverture de la saison du Théâtre Varia, ZSenne a le plaisir de vous inviter au vernissage ZSenne au Varia, trois artistes, FREDERIC ROLLAND, TANGUY POUJOL et MILJAN VUKICEVIC qui se lancent dans une performance de deux jours. Assistez aux performances en cours le vendredi 7 et samedi 8 de 15h à 23h.
VERNISSAGE : samedi 8 de 18h à 19h30 
Adresse : Théâtre Varia 
Rue du Sceptre 78 1050 Ixelles
FORMULE VERNISSAGE + SPECTACLE !
Les visiteurs du vernissage pourront acheter leur ticket d’entrée au spectacle donné le soir même au Varia (Il ne dansera qu’avec elle d’Antoine Laubin) à 20h30 pour le prix avantageux de 8 € ! 


La sensibilité de FREDERIC ROLLAND infiltre tout son travail : environnement, vidéo, performance. Partout, il pose son regard de l’autre côté du miroir, à la recherche de l’indicible. Accompagné de Claude Lemelin au son, il s’emparera de L’homme assis dans le couloir, un texte de Marguerite Duras qui aborde les multiples aspects d’une sexualité « libérée ».

Après des études d’architecture, TANGUY POUJOL reprend des études de photographie à La Cambre. Depuis, au gré de ses inspirations, il crée des installations tantôt monumentales, tantôt minimalistes. Seuls comptent le processus de création et la démarche artistique. Son projet pour le Varia consistera en une intervention-installation à laquelle il a donné le titre de Sluggish, lazzy, stupid and unconcerned.

Né à Belgrade et vivant à Anvers, MILJAN VUKICEVIC est un dessinateur obsédé et répétitif qui trouve son inspiration dans le quotidien et qui est fasciné autant par la beauté et la tendresse du monde que par sa cruauté dans laquelle il retrouve, malgré lui, de l’esthétique. C’est sur la verrière du théâtre qui ouvre sur le ciel, qu’il tracera les motifs de ses obsessions.